Il y a une dizaine d’années, lorsqu’on commandait du saké au restaurant, il n’était pas rare de se le faire servir chaud, dans une petite bouteille anonyme, sans information sur le produit. On sait maintenant que les meilleurs sakés sont dégustés froids, qu’il en existe des centaines de variétés sur le marché et qu’ils ont une diversité de profils aromatiques, tout comme le vin.
À Montréal, une dizaine de restaurants en affichent sur leur menu, comme au JIAO Dim Sum bar ou au Fleurs et Cadeaux. On l’apprécie pour sa polyvalence et parce qu’au-delà des sushis, il accompagne bien des aliments plus difficiles à accorder, comme l’œuf ou le fromage bleu, par exemple.
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