1. La puissance du vin
Généralement, on prend des vins rouges très doux pour la macération de la volaille. Optez plutôt pour un cépage corsé (de la syrah). En plus de son parfum, il donne une belle teinte à la viande et à la sauce. Vous en serez surpris!
2. La touche fumée
Fumé ou non fumé, le lard salé? C’est une question de préférence. Les résultats sont concluants dans les deux cas. Ici, on opte pour la variante fumée. Son goût se diffuse dans la sauce et apporte plus de profondeur et de nuances. Dorez-le dans une cocotte en fonte et obtenez un franc succès!
3. La longue macération
Inspirez-vous des civets (ragoûts de lapin ou de gibier) où le temps de trempage plus ou moins long permet d’attendrir la viande. Laissez le poulet macérer dans le vin rouge et les herbes pendant 12 heures. Cette étape permet à la saveur et à la couleur du vin d’imprégner la chair jusqu’à l’os.
4. La double réduction
Réduisez les liquides de la recette pas une fois, mais bien deux fois! La première, pour évaporer l’alcool et concentrer les saveurs. La deuxième, pour cuire légèrement la farine qui sert à bien lier la sauce.
Poulet
Coq au vin (le meilleur)
Pour parfaire davantage votre répertoire de recettes, pensez à un classique italien : l’osso buco. À votre cocotte!